|
Критика и публицистикаL'alouette, en mourant, se cache dans les bles; Le rossignol, qui sent defaillir son ramage, Et la bise arriver, et tomber son plumage, Passe invisible a tous, comme un echo du bois: Ainsi je veux passer. Seulement, un... deux mois, Peut-etre un an apres, un jour... une soiree, Quelque patre inquiet d'une chevre egaree, Un chasseur descendu vers la source et voyant Son chien qui s'y lancait sortir en aboyant, Regardera: la lune avec lui qui regarde Eclairera ce corps d'une lueur blafarde; Et soudain il fuira jusqu'au hameau, tout droit. De grand matin venus, quelques gens de l'endroit Tirant par les cheveux ce corps meconnaissable, Cette chair en lambeaux, ces os charges de sable, Melant des quolibets a quelques sots recits, Deviseront longtemps sur mes restes noircis, Et les brouetteront enfin au cimetiere; Vite on clouera le tout dans quelque vieille biere, Qu'un pretre aspergera d'eau benite trois fois; Et je serai laisse sans nom, sans croix de bois!* У друга его, Виктора Гюго, рождается сын; Делорм его приветствует: Mon ami, vous voila pere d'un nouveau-ne; C'est un garcon encor: le ciel vous l'a donne Beau, frais, souriant d'aise a cette vie amere; A peine il a coute quelque plainte a sam ere ...» |
Код для вставки книги в блог HTML
phpBB
текст
|
|