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Ôðàíöóçñêèé ÿçûê ñ Àëüáåðîì Êàìþ. Ïîñòîðîííèé / Alber Camus. L’etrangerEt madame ne travaillait pas. Mais elle me disait que c'™tait juste, qu'elle n'arrivait pas avec ce que je lui donnais. Pourtant, je lui disais: «Pourquoi tu travailles pas une demi-journ™e? Tu me soulagerais bien pour toutes ces petites choses. Je t'ai achet™ un ensemble ce mois-ci, je te paye vingt francs par jour, je te paye le loyer et toi, tu prends le caf™ l'apr˜s-midi avec tes amies. 25. Tu leur donnes le caf™ et le sucre (òû èì äàåøü êîôå è ñàõàð). Moi, je te donne l'argent (à ÿ òåáå äàþ äåíüãè). J'ai bien agi avec toi et tu me le rends mal (ÿ õîðîøî ïîñòóïàþ ñ òîáîé, à òû ìíå îòïëà÷èâàåøü çëîì; rendre âîçâðàùàòü, îòïëà÷èâàòü).» Mais elle ne travaillait pas, elle disait toujours qu'elle n'arrivait pas et c'est comme —a que je me suis aper—u qu'il y avait de la tromperie (íî îíà íå ðàáîòàëà, îíà ãîâîðèëà âñÿêèé ðàç, ÷òî åé íå õâàòàåò, è âîò òàê ÿ çàìåòèë, ÷òî òóò îáìàí; comme —a òàê).» 25. Tu leur donnes le caf™ et le sucre. Moi, je te donne l'argent. J'ai bien agi avec toi et tu me le rends mal.» Mais elle ne travaillait pas, elle disait toujours qu'elle n'arrivait pas et c'est comme —a que je me suis aper—u qu'il y avait de la tromperie.» 26 ...» |
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