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ПисьмаJe me penche, et longtemps l™coute; Je crois entendre sur la route Le son, quun pas l™ger produit Non, ce nest rien! Cest dans la mousse Le bruit dune feuille, que pousse Le vent parfum™ de la nuit. Rempli dune amre tristesse, Je me couche dans lherbe ™paisse Et mendors dun sommeil profond Tout-ђ-coup, tremblant, je m™veille: Sa voix me parlait ђ loreille, Sa bouche me baisait au front. Vous pouvez voir par ceci quelle salutaire influence a eu sur moi le printemps, saison enchant™e, o© lon a de la boue jusquaux oreilles, et le moins defleurs possible.P Donc, je pars ce soir: je vous avouerai que je suis passablement fatigu™ de tous ces voyages qui paraissent devoir se prolonger dans leternit™. Jai voulu ™crire encore ђ quelques personnes ђ P™tersbourg, entre autres ђ M-me Smirnoff, mais je ne sais si cette action t™m™raire lui serait agr™able, voilђ pourquoi je mabstiens. Si vous me r™pondez, adressez ђ Stavropol, в штаб генерала Грабе je me suis arrang™ pour quon menvoye mes lettres adieu; mes respects je vous prie ђ tous les v¤tres; et encore adieu portez vous bien, soyez heureuse et ne moubliez pas ...» |
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